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Editions L'OZ - 2010
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« S’il existe un Mozart assassiné en chacun de nous et que ce Mozart est en définitive la passion amoureuse qui s’essouffle pour se détruire, Siam ressuscite ce sentiment pour un temps et me redonne le goût d’entendre de la musique de qualité »
« L'Amour à Trois contient quelques pépites… »
« Plus qu'un duo musical, Siam, c'est un royaume. L'amour à Trois a ce petit quelque chose qui confine au sublime »
« Les chansons de Siam séduisent. Terriblement »
« Un univers musical bien affirmé où le bandonéon et la guitare viennent chahuter des textes empreints de rage contenue et de romantisme »
« Le premier album d'un groupe est rarement aussi attendu. Il faut dire que le duo SIAM, créé en 2008, est la nouvelle aventure musicale de Bruno Leroux, figure du rock brestois. L'ex-leader des Locataires, à la fin des années 80, était au côté de Miossec pour enregistrer Boire, album-clé d'une nouvelle chanson française... Savourer toute l'originalité de SIAM. Elle doit beaucoup à Fanny Labiau, l'autre moitié du duo, à la voix mutine et au bandonéon sensuel. Un album très réussi »
« A une autre époque, Bruno Leroux et Fanny Labiau auraient pu s'appeler Bonnie & Clyde. Ce mini gang nous livre des morceaux endiablés, enflammés et emprunts d'un érotisme affirmé »
« Siam c'est de la chanson rock. C'est enfin réunis l'esprit des Clash, la sensualité de David Bowie, la poésie urbaine de Miossec et la provocation de Gainsbourg »
« En duo, les Brestois de Siam, Bruno Leroux et Fanny Labiau, réussissent L’Amour à trois, leur premier album, dualité qui fait le charme du groupe »
Enregistrement | Studio |
Nombre de titres | 13 |
Version | Deluxe |
Format | MP3 |
Format | CD |
Année de production | 2010 |
Siam, c'est d'abord Bruno Leroux. Une gueule d'amour cassée et classieuse. Chanteur des feu-Locataires, co-équipier de Miossec sur Boire, révélateur de Fanny Labiau sur L'amour à trois, son précédent album. C'est surtout le chef d'une bande flamboyante, sur scène comme sur disque, de musiciens chevronnés, plumes fines, potes de comptoirs et filles troublantes.
Si le premier album de Siam se déroulait dans l'intimité d'une chambre close, enregistré en formation resserrée autour des accents lancinants du bandonéon de Fanny Labiau, Je te mens s'échappe en ville, court les rues, bat le pavé, traîne dans les rades et convoque de talentueux protagonistes pour une piste sans fin, une fuite nocturne typiquement brestoise. Aussi pop et déluré que L'amour à trois était dramatique et chic, ce deuxième album, passage a priori périlleux dans la carrière d'un groupe, est court, dense, et haletant.
Sur cet album glam, baroque et bariolé, aux arrangements luxuriants (cuivres, cordes et clochettes à la Kinks ou Left Banke) ou épurés façon Dominique A. – à qui il emprunte certains musiciens – Siam pulvérise les genres et les tempos. La voix de son héros est plus juste que jamais.
Aux côtés de Gainsbourg, Miossec ou Biolay, Bruno Leroux impose son timbre parmi les dynamiteurs inspirés de la chanson française.
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